Le Grand Peygu et les trois cols

Du petit parking au bord de la D902, suivre la piste en direction des chalets de l'Izoard. Passer devant les chalets puis bifurquer vers la droite. Suivre un sentier plus ou moins bien marqué. Traverser le ravin d'Izoard et prendre vers la gauche un sentier à flanc de montagne qui longe la base du Grand Peygu. Après environ 1,5 km, débuter la montée vers le sommet en suivant les rare et timide cairns jalonnant le tracé. Vers le sommet, franchir les passages rocheux, sans difficulté, en contournant les passages les plus raides. Atteindre le sommet du Grand Peygu.

Descendre par l'itinéraire de montée en tirant vers la droite en fin de trajectoire. Traverser un pierrier pas trop large et peu difficile avant de rejoindre le sentier menant au col des Peygus. Débuter la montée vers le col en suivant le creux d'un petit vallon avant d'atteindre une crête qui vous mènera au col.

Au col, remonter vers la droite la ligne de crête formant le col. La quitter pour suivre les drayes à flanc de montagne. Conserver à peu près la même altitude et passer jusque sous les barres rocheuses pour atteindre l'autre vallon. Une fois les barres rocheuses derrière vous, remonter à l'azimut le vallon pour atteindre le col. Ne pas hésiter à faire de nombreux lacets afin de ménager sa peine dans ces fortes pentes.

Au col de la Roya, après un petit aller-retour pour découvrir cette ligne de crête, redescendre le vallon en direction du col des Ourdéis. Suivre globalement un itinéraire en parallèle de la crête du Buguet. Un sentier plus ou moins bien marqué permet de franchir l'ancien glacier pierreux (supposition) situé au pied des barres rocheuses.

Remonter vers le col des Ourdéis en faisant un petit aller-retour. Redescendre du col et prendre la direction des chalets de l'Izoard que l'on devine au loin.
Rejoindre votre véhicule après cette belle balade en montagne.

Aucun

Sentier bien marqué, puis hors sentier pour atteindre le Grand Peygu et le col de la Roya.

La pente vers le grand Peygu et le col de la Roya est raide, mais elle se grimpe facilement en faisant des lacets.

Les touffes d'herbes nous offrent des gradins qui facilitent la montée. Elles sont fragiles et méritent bien d'être préservées...